• Les États Généraux co-organisées par l'ANECR, le PCF et le PG doivent être un point de départ.

    L'actuelle crise du logement dans un pays développé comme la France n'est que le reflet d'une crise bien plus vaste de société, voire de civilisation : Nous constatons qu'un État de droit émet une loi (DALO) qu'il est incapable de respecter, que la situation du logement traduit une régression sociale sans précédent, que, malgré les difficultés, les mécanismes spéculatifs s'accentuent et que face à des exigences écologiques majeures touchant l‘habitat, les moyens mis en place pour y satisfaire sont ridicules. Malgré une crise financière terrible pour les plus faibles, les spéculations continuent de plus belle, et l'idéologie libérale continue de sévir. C'est en particulier ce qui se passe en Europe avec la mise en œuvre du traité de Lisbonne dans le domaine des services sociaux d'intérêt général. On ne répondra pas à la crise du logement sans s'attaquer aux fondamentaux d'un système capitaliste de plus en plus dépassé, mais toujours vigoureux pour promouvoir les inégalités et les injustices.

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  • Le mercredi 17 février, des militants et élus du Front de Gauche ont distribué à l'entrée de l'usine Ascometal des tracts appelant à voter pour les candidats du Front de Gauche aux élections régionales du 14 mars 2010.


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  • Après  notre entrée, une nouvelle fois, au Bundestag, avec 11,9% des voix, et le succès  à l’élection du Parlement du Land de Sarre, la phase de fondation du parti DIE LINKE arrive à son terme. Nous sommes maintenant représentés non seulement dans six Länder de l’Est, mais aussi dans six Länder de l’Ouest de l’Allemagne, et nous avons rallié les voix de 5 155 933 électrices et électeurs lors des élections au Bundestag, soit plus que les Verts, et plus que la CSU.

    Discours d'Oskar Lafontaine à l'occasion des vœux de Nouvel an de la fraction de DIE LINKE à Saarbrück.

    Après notre entrée, une nouvelle fois, au Bundestag, avec 11,9% des voix, et le succès à l'élection du Parlement du Land de Sarre, la phase de fondation du parti DIE LINKE arrive à son terme. Nous sommes maintenant représentés non seulement dans six Länder de l'Est, mais aussi dans six Länder de l'Ouest de l'Allemagne, et nous avons rallié les voix de 5 155 933 électrices et électeurs lors des élections au Bundestag, soit plus que les Verts, et plus que la CSU.

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  • Le cœur de l’affaire Proglio, c’est cet effacement de l’intérêt général. Un service public historique est placé sous la direction du patron d’une entreprise privée concurrente. La soumission d’EDF aux intérêts privés commence dès l’embauche. Au mépris même de l’efficacité du service public. Rappelons que l’an dernier, les lignes frappées par la tempête ont pu être réparées en quelques jours grâce au travail bénévole d’électriciens retraités. EDF peut-elle susciter ce dévouement au bien public tout en payant son président en référence aux pratiques des grandes entreprises capitalistes ?

    Parfois le voile se déchire. L'affaire Proglio jette un coup de projecteur soudain sur l'oligarchie au pouvoir dans notre pays. Officiellement, les néolibéraux démantèlent l'Etat pour rétablir le libre jeu du marché. Officiellement les compétiteurs privés qui s'y affrontent sont des amis du risque. Mais en réalité, les néolibéraux organisent la colonisation de l'État bien plus que sa destruction.

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  • Le contenu politique de la bataille contre la droite, comme celle des politiques menées dans les régions qui seraient gagnées par la gauche, n’est donc pas un pinaillage à côté de la nécessité de sanctionner la droite. C’est le cœur du problème. Un nouvel échec à gauche suite à la crise de la droite signifierait l’effondrement du système politique. Ces alternances brutales sur le plan électoral mais sans effet réel pour la masse de la population ont précédé les révolutions démocratiques d’Amérique Latine. En France nul ne sait à qui elles profiteraient.

    Le constat s'impose à tous ceux qui battent campagne. Le pouvoir subit une crise de légitimité galopante. Partout les oreilles se tendent lorsque l'on invite à sanctionner Sarkozy. Mais il faut regarder au-delà. Car le rejet du pouvoir n'est pas seulement massif. Il est également très disparate. Le mécontentement est palpable mais confus. Sur les marchés, au porte à porte, on nous parle presque autant de Villepin que des retraites. Beaucoup pensent que le PS ne ferait pas mieux. Le Front de Gauche n'est pas encore vécu comme une alternative gouvernementale. Tout peut donc sortir de la crise d'autorité qui frappe le pouvoir comme l'opposition. Souvenons-nous qu'en 2007 Sarkozy a incarné l'alternative à Chirac, avec 20 régions sur 22 passées à gauche trois ans plus tôt.

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