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Ce soir je suis au chaud parmi les miens dans le sud de la France. Par habitude depuis tant d’années, je me donne un temps ce soir là pour penser à ceux qui sont dans la peine la maladie ou la souffrance. Cette cette année, comme depuis combien d’autres déjà, j’aurais croisé sans pleurer tant de pauvres diables couchés dans la rue et cette infamie m'obsède. Mais cette fois ci je dédie cette note de Noel aux camarades d’EDF que je suis allé soutenir ce matin au centre proche de la gare du nord.
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La crise frappe durement les classes populaires. Le chômage explose : premières victimes les jeunes, les ouvriers. Pour préserver les profits des actionnaires de nombreuses entreprises, même en bonne santé, licencient, suppriment des missions d'intérim, recourent au chômage partiel. Les droits des chômeurs sont attaqués. Les personnes sans domicile fixe sont toujours victimes de situations inacceptables. Les attaques contre les salaires, le pouvoir d'achat, l'emploi, la protection sociale et les services publics plus que jamais se poursuivent. La qualité de la vie se dégrade.
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Le gouvernement devrait signer dès le premier semestre 2009 des contrats avec 58 établissements privés d'enseignement supérieur, parmi lesquels cinq instituts catholiques. Ce ne sont pas moins de 66,4 millions d'euros qui devraient être alloués à ces établissements privés quand le budget 2009 prévoit pour l'enseignement supérieur public une nouvelle saignée de plus de 1000 postes.
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Porfirio Lobo a été officiellement déclaré "président élu", après l’élection du 29 novembre, dont une grande partie de la communauté internationale n’a pas reconnu le résultat.
42 assassinats, 120 disparitions, 4 000 détentions arbitraires… Les droits de l’homme se sont brutalement détériorés depuis le putsch du 28 juin.
Analyste réputé de la vie politique hondurienne, Julio Navarro considère que le régime de facto n’a pas d’autres choix que de dialoguer avec la résistance.
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Note d'analyse (n°4) de la délégation du Parti de Gauche présente à Copenhague
C'est bien d'un "compromis pourri" qu'il s'agit. Le Sommet de Copenhague, qui aura réuni pendant deux semaines près de 200 pays du monde entier, vu défiler les « grands » dirigeants de la planète, rassemblé près de 100.000 citoyen-ne-s dans les rues de la capitale danoise... Tout ça se résume finalement à un accord politique au rabais, une déclaration d'intention scandaleusement vide et à une gifle infligée aux pays du Sud, aux mouvements citoyens et à la planète toute entière.
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