• Je suis parti trois jours, sans télé, sans radio, sans journaux. J'avais à faire. Pendant ce temps mes amis au congrès de Die Linke à Rostok en Allemagne et d'autres au contre-sommet Europe Amérique latine à Madrid poursuivaient notre harassant agenda militant international sans lequel notre Parti de gauche serait hors de sa mission et de ses devoirs. Sitôt revenu, après plusieurs heures de ballade sans objet dans Paris la splendide et sur la terrasse sublime de l'Institut du Monde arabe, j’ouvre mon blog. Alors, les bras m’en sont tombés des épaules : ma dernière note a été lue plus de trente mille fois et il y a plus de mille commentaires. Signe des temps qui me dépasse. Je dis un mot quand même sur le sujet en fin de note. Mais, surtout, je dis ce que je sens avec ce recul, certes bien petit puisqu’il ne s’agit que de trois jours, mais le premier depuis longtemps. Dites : c’est vraiment la fin d’un monde. Il faut se préparer sérieusement pour la relève. L’affaire va être rude !

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  • Indigence pour des millions de retraités, ou perénnité de notre système fondé sur la solidarité intergénérationnelle, tel est l’enjeu.

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  • Cette année encore les défilés du 1er mai avaient une importance toute particulière. Les syndicats et partis politiques de gauche avaient l'opportunité de faire entendre leur opposition à la « réforme » des retraites proposée par le gouvernement. Depuis la publication du rapport du COR, le gouvernement relayé par les média dominants a mis en place une opération de découragement du peuple, pour que celui-ci accepte volontairement de voir son droit à la retraite à 60 ans à taux plein remis en cause.

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